J’écris ce matin pour apaiser tous ces tourbillons d’idées qui tambourinent dans ma caboche. Je cherche un nouveau mot, un verbe créateur, une glissade d’idées qui s’allonge, s’étire et risque peut-être de ne vouloir rien dire.
Mon cœur bringuebalant tremblote et palpite. L’amour, le vrai et le grand, me provoque encore avec de petites taquineries galantes. Oui, oui! Ce nouvel ami qui, dernièrement, s’est immiscé dans notre groupe de vieux est tellement beau et gentil qu’un vif sentiment me pousse à chercher à m’asseoir tout près de lui. Quelle fofolle je suis! Quelle étrange aventure que de vouloir aimer! Depuis toujours, je traîne l’immense mot « AMOUR » caché dans mon vieux cœur dont j’ai tout probablement perdu la clé.
Ma chanceuse copine Gisèle a pourtant trouvé l’amour et la beauté chez un solide vieillard. Six pieds deux pouces, les yeux bleus. Comme je les envie tous les deux. Ancien homme d’affaires, globe-trotteur et collectionneur d’œuvres d’art, l’homme nommé Jérôme a passé tout le temps des Fêtes avec ma copine plus gentille que la gentillesse elle-même.
Certes, ils m’ont invitée entre Noël et le Jour de l’An, mais j’ai prétexté cinq jours à Québec déjà réservés pour laisser les amoureux en couple au lieu de jouer la cinquième roue du carrosse. Ce petit mensonge blanc aurait-il sauvé mon honneur? En tout cas, il ne m’a pas épargné des larmes, car j’ai braillé comme une Madeleine toute seule en pyjama au pied du sapin avec quelques réconfortantes tartines de caramel dans un joli cabaret de Noël.
Comme l’amie Gisèle m’avait aussi envoyé une belle boîte de délicieux sucre à la crème, le lendemain matin je me suis renippée et empressée de les partager au café avec mon groupe d’amis et le nouvel arrivé. Ce dernier me prodigua un sourire aussi éclatant qu’un message publicitaire à la télé.
Marié avec sa tendre Carole, mon deuxième voisin, dans la soixantaine avancée, me racontait l’autre jour que des vieillards défraîchis trouvent l’amour et souvent une bague au doigt. Ces fringants audacieux s’endimanchent, se peignent, se parfument et sortent danser. Ils arrivent, ils zieutent l’endroit et tendent la main aux plus belles dames présentes sur le plancher de danse. Moi qui n’ai jamais valsé ni même jamais plus essayé de danser après que le plancher de danse ait servi de lieu damné de rencontre avec le mari, je n’ai que des mots alignés pour me consoler; ceux que j’écris et ceux que les plus grands auteurs me servent sur des plateaux d’argent.
Ces jours-ci, cependant, j’ai vraiment besoin que quelque chose ou quelqu’un m’électrise, m’excite et m’enflamme. Ce nouvel ami serait-il célibataire? Je l’espionne, je le guette; j’attrape vite un torticolis à force de me cacher pour l’observer.
Un peu avant la fin de la pandémie, je m’étais inscrite à un genre de cours de sagesse en ligne donné par une vénérable institution. Vous en ai-je déjà parlé? Tous les dimanches avant-midi, pendant trois heures, j’écoutais sur mon iPad les précieux conseils des experts, puis je devais effectuer un devoir et le soumettre. Je devais aussi déterminer un robuste objectif à atteindre. Croyez-le ou non, je n’ai pas choisi d’escalader le mont Kilimandjaro, mais quelque chose de presque aussi insurmontable!
Après quelques recommandations d’amies proches, j’ai plutôt décidé de m’inscrire à la « meilleure » agence de rencontres en ville! Il me fallut tellement de courage pour oser vaincre mes peurs! Après tout, j’étais une femme mature, active, quasi indisponible et peut-être un peu trop facilement reconnaissable.
Serais-je trop vieille pour taquiner l’amour?
À SUIVRE.
Cora
❤️
Vous souvenez-vous de cette gentille journaliste qui m’a interrogée à quelques reprises dans le passé? Elle m’invite encore à répondre à ses audacieuses questions. À ce que j’ai compris de son propos, la jeune femme écrit actuellement un livre sur la vie des femmes de plus de 50 ans célibataires, indépendantes et qui profitent bien de la vie. Comme d’habitude, je suppose que la jeune journaliste n’hésitera pas à décortiquer ma surprenante vie.
— « Chère Cora, puis-je d’abord vous remercier d’avoir accepté de participer à mon projet? »
— « J’ai très souvent eu l’occasion d’aider, d’écouter, de conseiller et même d’être un attentif mentor pour certaines jeunes femmes durant ma vie de femme d’affaires. Aujourd’hui, je m’enorgueillis de pouvoir participer à votre projet stimulant! Vieillotte aguerrie, je ne suis plus sous les feux de la rampe, mais ma vaillante plume s’immisce encore dans des milliers de cœurs bien intentionnés. »
— Cherchez-vous encore un prince charmant? »
— « Charmante dame Isabel! Cet homme de mes rêves, je l’ai cent fois imaginé et je le connais par cœur. Ses yeux bleu-vert dans lesquels je me noie, son front sur lequel j’écris mon nom, ses joues chaudes qui me réchauffent, sa voix qui m’appelle, son cœur qui m’ensorcelle. Dans ses bras, si je le pouvais, je m’endormirais pour toujours. »
— « Tout le monde le sait, vous vous êtes mariée avec le mauvais gars. N’avez-vous jamais eu envie de donner sa chance à quelqu’un de mieux? »
— « À cinquante ans, un honnête homme m’a passé la bague au doigt, mais ça n’a pas duré. J’étais déjà, à cette époque, une femme d’affaires galopant sur l’autoroute du succès. Pourquoi me suis-je mariée? Je l’ignore encore. Je visais la conquête de tout un grand pays et je n’avais pas le temps de jouer à pitou et à minou. Voilà pourquoi l’époux à tête blanche a décidé de retourner dans sa Bretagne natale, comme l’aurait fait l’aigle Pygargue à queue blanche avec une certaine moue. »
— « Wow, c’est toute une révélation que vous venez de me faire! Moi qui pensais bien vous connaître, je comprends que vous cachez encore plusieurs secrets dans votre besace à souvenirs! Pour l’instant, continuons notre propos. »
— « Cora, vous considérez-vous comme une femme puissante? »
— « L’ai-je déjà été? Je suis totalement incapable de tuer une fourmi, une souris ou même un petit maringouin. Je me considère beaucoup plus comme une artiste, une créatrice, et peut-être, par ricochet, une sérieuse femme d’affaires qui a osé se cogner le nez sur le fameux plafond de verre. J’ai dû assumer ma singularité, mes talents et mes croyances. Je n’essayais jamais de rivaliser avec les hommes et je n’avais pas peur de dire oui ou non lorsque j’étais convaincue. J’ai pris des risques calculés et je me suis toujours documentée avant d’agir. Encore aujourd’hui, j’ai le non et le oui aussi solide qu’un lingot d’or et je continue sans cesse à me renseigner sur tous les sujets qui me passionnent. Il n’en demeure pas moins que ma curiosité se révèle ma plus grande puissance! »
— « Madame Cora, diriez-vous que vous vivez dans l’aisance? »
— « Certes, je suis de celles qui ont dû rapidement apprendre à compter. Moi qui ai tellement manqué d’amour, d’affection et de tendresse, peut-être la vie a-t-elle voulu que je réussisse en affaires à titre de consolation. Je n’ai jamais été une personne extravagante, dépensière, ou irréfléchie. J’ai économisé, un peu à outrance, je l’avoue, pour l’avenir de mes petits et pour les causes qui me tiennent à cœur. Je me considère riche d’expérience, de créativité et de détermination. Tout ce que j’ambitionne d’accomplir, je le pratique jusqu’à ce que je réussisse à le faire. »
— « Parlez-moi un peu de votre cercle d’amis. »
— « Avec plaisir! J’ai sept ou huit bons amis. Je pense d’ailleurs que notre groupe de vieux s’avère une réelle bénédiction du ciel. Presque chaque matin vers 7 heures, nous prenons ensemble notre premier café de la journée. Nous jasons, nous nous racontons tout ce qui nous arrive, tout ce dont nous rêvons et tout ce dont nous avons un peu peur. Oui, oui! Nous échangeons sur des sujets aussi variés que nos bobos, nos peurs, nos rendez-vous chez le toubib et quelques rares désirs à assouvir avant de nous envoler. J’ai aussi la chance de pouvoir compter sur des professionnels qui ont croisé ma route et avec qui je me suis liée d’amitié, comme vous, chère dame Isabel! »
— « C’est un honneur pour moi de savoir que vous me considérez comme une amie. Merci pour votre confiance. Cora, le temps file comme un éclair et, très bientôt, vous atteindrez l’âge de 80 ans. Est-ce que vous aimeriez qu’on vous organise une grande fête? »
— « Attendez plutôt que j’aie 100 ans, comme Jeannette Bertrand, car j’espère m’y rendre. Je roule encore ma bosse, je cuisine, je tricote, j’écris à outrance et je lis chaque jour une centaine de pages des meilleurs auteurs. Je bois deux grands cafés chaque matin en compagnie de mes amis. Comme vous le savez, j’ai travaillé dans une cuisine d’innombrables matins jusqu’en après-midi, alors ça surprend toujours lorsque je dis que moi, la reine du déjeuner, je ne déjeune jamais! L’appétit me vient vers 14 h. Je mange très peu de viande. En bonne Gaspésienne, je préfère encore le poisson pour mon repas du midi. Quant au soir, depuis quelques années, je me contente de fruits frais, de yogourt, de dattes, de noix et de céréales… sauf si on me propose une sortie au restaurant! S’il m’arrivait qu’un beau mâle me tende la main, je pourrais aussi sans vergogne lui mordre un doigt.
Cora
❤️
Le chiffre 7 a toujours exercé une fascination particulière sur l’humanité, transcendant les cultures et les époques. Le saviez-vous? Sa signification spirituelle profonde résonne comme une mélodie cosmique invitant chacun d’entre nous à explorer les mystères de l’existence.
Ce chiffre 7 se retrouve un peu partout dans la nature : 7 océans, 7 continents, et 7 couleurs de l’arc-en-ciel. De plus, la plupart des mammifères ont 7 vertèbres cervicales. Le 7 s’immisce souvent dans les contes de fées. Barbe-Bleue a 7 épouses et Blanche-Neige rencontre 7 nains et habite avec eux. Dans les contes de Grimm, un vaillant petit tailleur tue 7 mouches d’un coup et les bottes de l’ogre qui pourchasse le Petit Poucet, d’ailleurs âgé de 7 ans, peuvent parcourir 7 lieues sans forcer.
Il s’avère aussi un choix très populaire dans le monde des jeux d’argent. À ce qu’il paraît, les machines à sous offrent un gros prix quand on obtient trois 7. De nombreux sondages ont d’ailleurs déterminé que le chiffre 7 était le chiffre porte-bonheur le plus répandu dans le monde.
On retient facilement le chiffre 7 car il concorde avec les capacités humaines de mémoire et de concentration. Généralement, le cerveau n’arrive à emmagasiner que 7 informations différentes à la fois dans sa mémoire à court terme.
Le chiffre 7 apparaît dans les religions du monde entier. Il orchestre les systèmes de croyances. Il y a 7 dieux japonais du bonheur et 7 péchés mortels dans la bible. La menora hébraïque comporte 7 branches et la première sourate du Coran, 7 versets.
Le chiffre 7 est mathématiquement attrayant. Il s’agit à la fois d’un chiffre impair et d’un nombre primaire; ce qui veut dire qu’il ne peut être divisé que par 1 ou par lui-même. Il n’existe pas deux nombres identiques qui s’additionnent pour donner un 7. Bien sûr, ces caractéristiques intéressantes s’appliquent aussi à d’autres nombres impairs et primaires.
Le chiffre 7 occupe aussi une place importante en astrologie, souvent associé à la transformation spirituelle et à l’éveil de la conscience. Il symbolise le passage d’un état à un autre. Il existe 7 planètes classiques, c’est-à-dire des objets astronomiques mouvants et visibles à l’œil nu. La lune, le soleil, Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne.
Le chiffre sept a marqué deux jours importants dans ma vie : je suis née le 27 mai 1947 et j’ai ouvert mon premier restaurant Cora quarante ans plus tard, précisément le 27 mai 1987.
Peut-être connaissez-vous l’illustre Rudolf Steiner, ce philosophe autrichien qui inventa une théorie du développement humain fondée sur 7 cycles de 7 ans? D’après Steiner, tous ces cycles de 7 ans, c’est-à-dire 0-7 ans, 7-14 ans, 14-21 ans, 21-28 ans, etc., jusqu’à 42 ans et plus, forment ensemble une sorte de « carte routière de la vie d’un individu ». Chaque cycle compte pour une étape du développement d’une personne. Ayant aujourd’hui 77 ans et quelques poussières, j’accumule déjà, selon Rudolf Steiner, onze cycles de sept ans dûment vécus, soit 4 de plus que sa théorie. Avec mes onze cycles de 7 ans, aurai-je assez bourlingué? Que me reste-t-il donc à espérer?
En 2022, les données de Statistiques Canada ont montré que notre pays comptait près de 13 500 centenaires, soit une augmentation de 48 % par rapport à 2018. Au cours des 25 prochaines années, les calculs statistiques prévoient que la population âgée de 85 ans et plus pourrait tripler pour atteindre près de 2,5 millions de personnes et plus de la moitié d’entre elles seront des femmes qui, statistiquement, vivent encore plus longtemps que les hommes. OUF!
Aujourd’hui je vois ma vie tel un immense gâteau. Mais combien de morceaux dégusterai-je encore? Combien d’autres cycles de 7 ans ajouterai-je à mon parcours? Si je survis à quatre autres, j’aurai alors 105 ans! Youpi!
Cora
❤️
L’autre matin, au café du village, les amis salivaient juste à penser au fameux pâté chinois que le grand Claude décrivait et dont il s’ennuyait d’en manger. Jadis, clamait-il, sa tendre Roselle lui en préparait chaque lundi dans un immense plat de cuisson pour bien commencer la semaine, et pour qu’il en reste jusqu’au mercredi. Avec du ketchup vert et du rouge fait maison, Claude s’empiffrait et en redemandait tellement le pâté sorti du four embaumait leur petite cuisine. La recette était simple : bœuf haché, maïs en grains et pommes de terre en purée dans lesquelles Roselle mettait une grosse cuillérée de margarine. Lorsque la minuterie du four sonnait, Roselle enfilait ses mitaines en fibres d’amiante, ouvrait la porte du four et sortait le plat fumant. Pourquoi diable nomme-t-on cette énième merveille du monde « UN PÂTÉ CHINOIS »?
Très cher Claude, toi qui en as tellement mangé, connais-tu au moins l’origine de ce mets? Même moi, qui mangeais de la morue cinq à six fois par semaine en Gaspésie, je me souviens du pâté chinois dominical comme d’un repas de gala. Oui, oui! Lorsque mon père sortait son petit hachoir à viande en acier inoxydable et qu’il l’installait sur un coin de la table en bois de la cuisine, mes sœurs et moi anticipions la fête du blé d’Inde. Ma mémoire défaille, je ne me souviens plus si nous avions du ketchup rouge en bouteille à cette époque.
J’ai entendu un nombre incalculable de versions au sujet de l’origine du fameux pâté chinois. Certes, je trouve quelques-unes d’entre elles plus vraisemblables que d’autres. Par exemple, il y a très longtemps, pour aider à la construction du chemin de fer dans l’Ouest canadien, les autorités canadiennes auraient fait appel à des Orientaux qui débarquaient ici en grand nombre. Il s’agissait à l’époque du « cheap labour », de la main-d’œuvre bon marché. Ces cuisiniers immigrants, chargés de nourrir les ouvriers, auraient ajouté le maïs au mélange de viande et de pommes de terre, puisqu’il était peu coûteux et disponible en grande quantité. Bien que je trouve cette version plausible, elle s’avère lourdement critiquée.
À ce que disent d’autres sources, peut-être qu’un véritable Français de France, fraîchement débarqué au pays, aurait tout simplement décidé de préparer un hachis parmentier en y ajoutant, pour y donner de la « couleur locale », du blé d’Inde à vache trouvé sur son chemin.
En grande curieuse que je suis, j’ai demandé son avis à l’ami Google. Le « China pie » serait originaire de la ville de China, dans l’état du Maine au sud de la frontière où de nombreux Québécois avaient émigré. En revenant au Québec, le nom aurait été traduit simplement par « pâté chinois ». La recette, rassasiante et économique, était simple à reproduire et elle est devenue un classique de la cuisine québécoise.
Comme tous les chemins mènent à Rome, je pourrais presque affirmer que toutes les recettes de pâté chinois se valent et s’égalisent en saveurs. Je me souviens qu’à mes débuts comme cuisinière de casse-croûte, la folle du logis dans ma tête expérimentait plusieurs variantes afin de surprendre et réjouir mes fidèles clients. Je mettais du veau au lieu du bœuf ou je mêlais les deux; quelquefois, je passais un restant de porc à cretons. Puis, à d’autres moments, j’ajoutais deux ou trois patates douces dans ma purée de pommes de terre juste pour impressionner la galerie. Il m’arrivait aussi de mélanger le maïs en grains avec des petits pois verts.
À ma façon, dans un solide chaudron, je fais sauter un beau gros oignon coupé en dés dans de l’huile chaude. J’ajoute ensuite environ deux livres de bœuf ou de veau et je laisse cuire jusqu’à la réduction complète du jus de cuisson et jusqu’à ce que la viande colle un tantinet au fond. Puis, j’y mélange deux cuillères à soupe de sauce HP et un peu de thym séché. Je retire la viande du feu et la verse dans un plat de cuisson assez profond. J’étends ensuite une boîte de 12 onces de maïs en crème et la même quantité de maïs en grains sur la viande. Depuis quelques années, j’utilise le maïs congelé qui me semble plus ferme, même décongelé. Je réduis sept à huit grosses pommes de terre en purée pour recouvrir tout le maïs. Je parsème finement du sel et du poivre et quelques noix de beurre.
Mise en garde :
Lorsque les pommes de terre sont cuites, retirez l’eau et laissez-les sur le feu quelques instants pour qu’elles sèchent un peu en prenant soin qu’elles ne collent pas. Attention aux grumeaux en les pilant. Je ne l’ai jamais fait, mais vous pourriez aussi ajouter trois jaunes d’œufs à la purée pour une meilleure consistance.
Très chers lecteurs, les gros mois d’hiver sont arrivés à pas de géants. Profitez-en pour vous réchauffer en cuisinant un bon pâté chinois.
Cora
❤️
Franchises Cora Inc., chef de file des déjeuners au Canada, annonce avec fierté que la bannière comptera deux nouveaux restaurants dans l’Ouest canadien. Cette fois-ci, ce sont les villes de Medicine Hat en Alberta et de Brandon au Manitoba qui font rayonner le soleil Cora.
En juillet dernier, le restaurant de Medicine Hat a été inauguré. Il s’agit du vingtième restaurant à voir le jour dans la province de l’Alberta.
D’autre part, le restaurant de Brandon, quatrième établissement Cora au Manitoba, a ouvert ses portes en novembre dernier.
Les deux nouvelles franchises font partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Avec plus de 125 franchises, les restaurants Cora continuent d’offrir un menu diversifié de déjeuners et dîners colorés et un service de première qualité, le tout dans une chaleureuse atmosphère familiale.
Les restaurants Cora sont fiers d’annoncer que la marque devient désormais un partenaire de choix de la compagnie aérienne WestJet. En effet, le transporteur canadien offre dorénavant le déjeuner Cora dans sa cabine Privilège à bord de ses vols matinaux. Il s’agit d’une délectable marque de confiance à l’égard notre entreprise, la pionnière des restaurants de déjeuners au Canada!
WestJet propose, depuis le 26 juin, un déjeuner Cora sur la plupart de ses vols d’une durée de deux heures et demie et plus. Les plats offerts sont inspirés des repas déjà prisés des mordus des déjeuners Cora : les oeufs Ben et Dictine à la dinde fumée, la Cassolette de légumes et l’Omelette au cheddar vieilli et aux épinards avec saucisse à la dinde.
Il s’agit d’une savoureuse opportunité pour Cora déjeuners d’accroître sa notoriété et de faire découvrir son menu auprès d’un public voyageur en donnant aux passagers de WestJet la chance de savourer un déjeuner Cora dans la cabine Privilège du transporteur.
Bon voyage!
Franchises Cora inc., le chef de file canadien des petits-déjeuners, est fière d'annoncer qu'un autre soleil s'ajoute à sa bannière dans l'Ouest Canadien. Cette fois, c'est la ville de North Vancouver qui a vu le soleil se lever.
La grande pionnière et fondatrice, Cora Tsouflidou, était de la partie lors de la Grande ouverture. C'est lors de cette célébration qu'elle procède à la Cérémonie de la Première omelette, une tradition par laquelle la première omelette du restaurant est réalisée de manière tout à fait symbolique.
Cette nouvelle franchise fait partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Il s'agit du 10e restaurant Cora en Colombie-Britannique pour la plus grande chaîne de restaurants de déjeuners et dîners à travers le pays.
Avec plus de 130 franchises en fonction, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners : une nourriture et un service de première qualité, le tout dans une chaleureuse atmosphère familiale.
L’année 2019 en est une de développement pour Franchises Cora inc., le chef de file canadien des déjeuners. L’entreprise fait rayonner son soleil symbolique dans les plus grandes villes au pays!
Deux autres restaurants ont ouvert leurs portes en mars. Comme dans bien des cas chez Cora, il s’agit d’une aventure familiale. Ainsi, le restaurant du quartier St. Vital, à Winnipeg, est géré par un couple de franchisés qui est tombé sous le charme des restaurants Cora, de leurs menus colorés et de tous les plats joliment agrémentés de fruits.
La plus récente ouverture est celle du second restaurant situé à Regina. Le franchisé a d’abord ouvert un premier Cora en novembre 2018. Fort de cette aventure, il s’est lancé dans le développement de son deuxième restaurant et a ouvert les portes de celui-ci le 18 mars dernier.
Les deux nouvelles franchises font partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Avec 130 restaurants en activité, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners et poursuit sa mission d’offrir une nourriture et un service de qualité dans une chaleureuse atmosphère familiale.