Dans ma tête, tout le bla bla de la marieuse s’est vitement effondré. Allait-on me reconnaître à chaque coin de rue? Je n’y avais jamais pensé. L’ancien professeur de philosophie avait certainement les moyens de m’amener au Ritz, et c’est tant mieux. Mais une femme comme moi, ça ne passe pas inaperçu et la marieuse aurait dû m’avertir d’être plus discrète, du moins, au début.
— « Oui, chère Natasha. J’aurais dû éviter le Ritz et mes anciennes adresses de femmes d’affaires où je risquais d’être reconnue ».
Les personnalités publiques éprouvent parfois plus de difficulté à rencontrer des personnes qui sont réellement intéressées à elles, pour qui elles sont, au lieu de s’intéresser à leur vie sociale ou à leur compte en banque. Si le rouquin ne m’avait pas reconnue avec mon prénom fictif, le maître d’hôtel lui avait offert ma véritable identité sur un plateau d’argent.
Le premier prétendant attablé devant moi s’est comporté comme s’il ignorait qui j’étais. Lui-même un habitué de l’endroit, il me posa quelques questions du genre avez-vous déjà été mariée ou êtes-vous veuve ou célibataire et depuis quand? Travaillez-vous encore? Et patati et patata. Il finit par suggérer que nous allions boire un digestif au grand bar du rez-de-chaussée de l’hôtel. Et j’ai encore accepté!
– « Limoncello, amaretto, cognac, porto, mandarine Napoléon? »
– « S’il vous plaît, j’aimerais bien un troisième latté. Je n’aime pas trop l’alcool, mais j’adore le café! »
Bien assise sur le nouveau canapé bleu azuréen du grand hôtel, l’homme roux me parle de voyages. Il me montre son billet d’avion, direction Dubaï. Malgré mes trois lattés, ma tête et mon cœur s’assèchent.
— « Quand partez-vous? », lui demandais-je pour meubler la conversation.
— « Jeudi, le 4, dans exactement 5 jours! », répond-il avec grand enthousiasme.
— « Quand reviendrez-vous? »
— « J’ai un billet ouvert. Peut-être que ça pourrait dépendre de vous!
— « Que voulez-vous dire, monsieur? »
— « Louons-nous une chambre et amusons-nous un peu! »
OUASH! OUASH! OUASH! AU SECOURS!
De retour à la maison, je m’agenouille et remercie le grand manitou et tous ses anges de m’avoir sauvé de l’opprobre. Quelques jours plus tard, je raconte à Natasha mon déjeuner au Ritz et elle me reproche de ne pas avoir suivi son avertissement en ne passant pas trop de temps en compagnie de l’homme. J’ai passé presque cinq heures avec une belle tête de malappris!
La marieuse me suggère un deuxième candidat. Elle m’avertit que cet homme est très bien, mais immensément malheureux. Son épouse adorée est décédée depuis presque un an et ses trois grandes filles musiciennes insistent pour que leur père retrouve le goût de vivre.
Comme je connais un peu mieux la routine, je me laisse tenter par ce deuxième chevalier. Ces filles auraient-elles un papa chef d’orchestre? J’ai hâte d’entendre un peu de musique.
Je suis la recommandation de Natasha et nous faisons d’abord connaissance au téléphone. Tout semble bien aller! Aucune fausse note, dirais-je. Je peux donc étirer ma chance et rencontrer le futur bon candidat. Surprenamment, j’apprends que l’homme réside à une petite douzaine de kilomètres de ma maison. Il me texte pourtant l’adresse du restaurant LES ENFANTS TERRIBLES du Centropolis de Laval. Seraient-ce ses trois grandes filles qui ont choisi l’endroit de ma prochaine rencontre?
Arrivée la première, je cherche un coin retiré pour me cacher. Un serveur en grand tablier noir arrive et m’offre quelque chose à boire pour patienter. Je lui commande un grand café avec deux crèmes.
— « Dites-moi, jeune homme, où se situe la salle de bain? »
Lorsque j’en reviens, je vois un vieillard chauve essayant malaisément de se lever pour me serrer la pince. L’homme serre pourtant ma main si fort qu’on dirait qu’il voudrait la garder pour toujours! J’ai tout de suite l’impression que quelques larmes parlent à sa place. J’essaie d’être gentille, mais les mots dans ma bouche se noient de tristesse. L’homme a oublié ses lunettes de lecture et j’épluche le menu à sa place. Il se souvient soudainement qu’à sa dernière visite avec feu sa tendre épouse, ils avaient tous les deux mangé du pâté chinois.
Ce sera un pâté chinois pour monsieur Bernard et moi, je resterai vieille fille jusqu’à cent ans!
À SUIVRE.
Cora
❤️
La vigilante marieuse insiste sur la qualité de ses candidats. Quatre hommes de bonnes valeurs, d’âges compatibles avec le mien, instruits, bilingues ou trilingues, un musicien, un homme d’affaires, un grand voyageur et un professeur de philosophie à la retraite.
— « Wow, chère Natasha! Et moi, serai-je à la hauteur? »
— « Ne vous inquiétez pas! Vous êtes encore attirante. Nous avons compilé les réponses des quatre concurrents et nous pensons que chacun d’entre eux pourrait vous ravir. N’ayez crainte, car vous n’aurez que l’embarras du choix. »
— « Quand pourrai-je les rencontrer? »
Les gens paient généralement des assurances pour que rien de fâcheux ne leur arrive. Mais l’amour, le grand, le solide, le magnifique, est-il seulement garanti? Mes petites cornes de femme d’affaires habituées à me faire douter, parlementer, négocier ou monnayer font surgir la question : que vais-je en faire?
— « Oubliez vos cornes et laissez votre petit cœur parler, me répond la marieuse. Chaque femme a le droit de trouver son prince charmant ».
J’avais trouvé le mien à 18 ans. J’en rêvais, tellement il était beau! Jamais, cependant, je n’ai pu lui serrer la pince parce qu’il gagnait sa vie comme acteur au cinéma. En effet, lorsqu’en 1965 le fameux film « Le Docteur Jivago » est arrivé dans les salles de cinéma, la terre entière a découvert la beauté et l’immense talent d’Omar Sharif, le très célèbre comédien qui incarnait le docteur Jivago. J’avais visionné cette histoire d’amour une vingtaine de fois avant même que le vilain ogre charcute mon cœur.
— « Dame Natasha, aidez-moi. Ayant si peu d’expérience des choses de l’amour, comment pourrais-je choisir le meilleur homme pour moi? » J’appris ainsi que je devrais d’abord avoir une conversation téléphonique avec chaque candidat avant que nous décidions de poursuivre.
— « N’oubliez pas d’utiliser votre nom fictif (Claudia) en parlant à chaque candidat! Quelque trente ou quarante minutes suffiront pour un premier contact. »
— « Mais qu’est-ce que je leur raconte? Que je suis une vieillotte inexpérimentée à la recherche d’un prince charmant? Dame Natasha, dites-moi, les hommes sont-ils plus dégourdis, fonceurs, adroits, et entreprenants? »
Peut-on connaître les tréfonds de l’autre lorsqu’on a soi-même mille difficultés à ouvrir son propre cœur? Dix mille sentiers brouillent l’adresse du véritable bonheur. Toute cette aventure vaudra-t-elle son pesant d’or?
Que vend la marieuse, au juste? Même pas une toute petite assurance de succès! Quatre conversations téléphoniques avec quatre voix d’hommes; quatre rencontres en personne garanties si personne ne se désiste. Seul un très long questionnaire d’environ 200 questions nous lie. Où en suis-je avec toutes ces balivernes? Dame Natasha devine mon état d’esprit et me convainc de poursuivre le programme. Dès ce soir, elle me mettra en communication téléphonique avec un premier candidat.
Professeur de philosophie à la retraite, le premier prétendant s’annonce comme un grand sportif à tête rousse pratiquant le ski, le golf, le tennis, le vélo de montagne et l’équitation.
Essoufflée comme je suis rien qu’à écouter son discours, mon cœur tombe du cheval juste à y penser! Mais j’aime la philosophie. J’aime aussi sa belle tête rousse aperçue en photo. Ce premier homme pourra-t-il m’aider à comprendre Martin Heidegger, celui qui, pour moi, s’avère le philosophe le plus influent du XXe siècle?
Natasha me suggère d’accepter une courte rencontre en personne. Un déjeuner, un latté dans une pâtisserie ou une promenade au parc Lafontaine. « Attention, par contre! », me prévient-elle. « Défense de passer toute la journée avec lui ». Les rencontres trop longues peuvent laisser entrevoir trop de choses.
L’homme à tête rousse me suggère un déjeuner au Ritz et je dis OUI! Pourquoi pas? C’est à ce Ritz que je me rendais d’ailleurs jadis chaque mois pour un déjeuner-causerie de femmes d’affaires.
Dans la longue file d’attente, une tête rousse bien garnie attire mon attention. La trouille s’empare de moi. Je le trouve trop beau, trop jeune et le suppose plus intelligent que moi. Cet ancien philosophe connaît certainement par cœur toute la descendance de l’homme de Cro-Magnon.
Je deviens nerveuse. J’ai faim. J’ai tellement hâte de boire mon premier café! Puis le maître d’hôtel me reconnaît et m’invite à m’asseoir à l’une de ses meilleures tables qu’il garde pour ses bons clients. Claudio, le plus vieux serveur du Ritz, m’aborde avec un immense sourire.
J’hésite, je zieute, je cherche la tête rousse. J’avertis le maître d’hôtel que j’attends quelqu’un. L’homme roux me rejoint enfin à la table. Devinera-t-il qui je suis? Il s’assoit, me dévisage et semble se demander s’il me reconnaît de quelque part.
— « Chère dame Cora, lance Claudio, vous ne vieillissez jamais? Ça fait trop longtemps qu’on ne vous a pas vue! Ce midi, je vous propose notre fameuse quiche sans croûte aux champignons, poireau et fromage de chèvre. Qu’en pensez-vous? »
À SUIVRE.
Cora
❤️
Femmes ou hommes esseulés, que cherchons-nous? Une présence, un compagnon, une compagne, peut-être le véritable amour? L’autre qui écoute, l’autre qui attend; une voix qui répond oui, ou peut-être non.
J’ai tellement de difficulté à imaginer une présence constante à mes côtés. Embarrassante ou bénie, l’imagination me manque et peut-être aussi l’expérience. Pour tout dire, je n’ai jamais fréquenté un réel cavalier. Oui, peut-être. Je me rappelle mon bal de finissants. Un joli jeune homme frisé comme un mouton m’avait tendu la main. Mal à l’aise dans mes souliers tout neufs, j’avais osé dire au jeune homme que je ne savais pas danser.
Depuis toujours, je manque de féminité, de grâce, de douceur et de finesse. Peut-être est-ce de ma faute? J’ai été élevée à la dure et je me suis mariée obligée avec le pire des prétendants. Lorsque cet oiseau de malheur s’est finalement enfui dans son lointain pays, j’ai prié pour que le dieu Thor, le fameux dieu du tonnerre, m’empoigne et me secoue jusqu’à ce que j’apprenne à gouverner ma vie. Je suis devenue une femme d’affaires intéressante et florissante, mais je n’ai jamais réellement pris de temps pour moi.
Natasha la marieuse, une belle jeune femme dont la passion est de rendre le plus de gens heureux et bien accompagnés, adore son travail et toutes les facettes du jumelage d’amoureux potentiels. Elle agira avec moi à titre de coach pour désamorcer mes craintes, mes interrogations et les petits désespoirs qui ne dureront qu’un moment, me laisse-t-elle croire.
Par un matin d’octobre frisquet, persévérante et optimiste, j’enfile mon latté au café du village. Ne faut-il pas assez le vouloir pour s’engager à traverser à la nage une rivière bourrée de requins? Il faut du moins le vouloir assez pour remplir candidement un très, très long questionnaire qui deviendra « mon profil ». Ce profil doit rester démuni de poésie, de vaillants adjectifs et de détails embellissants. Est-ce que je me connais suffisamment pour mener à bon port ce périlleux devoir? Vaille que vaille, je ne serai ni trop sévère avec moi-même ni trop pessimiste face aux griffures de l’âge.
« Tout le monde vieillit », me rassure la gentille Natasha.
Tout ce que je désire, c’est de rencontrer un homme bon, gentil et poète à ses heures. Ne sait-on jamais, mes lignes, ses lignes, comme des notes de musique, pourraient s’harmoniser ensemble. Je me connais si peu. Je suis telle une chaîne de petits volcans qui allument des feux, et celle qui, bien souvent, les éteint en désespoir de cause.
Comme dirait la Française Laure Adler avec ses lunettes de soleil en forme de cœur : « l’âge, cette épouvantable cinquième saison » bousille, disloque et sabote notre tranquillité. Que peut-on espérer lorsqu’il n’y a que la fin à se souhaiter?
Pourtant, j’attends paisiblement qu’une main brune, rose ou noire s’accroche à mon bras. Ce long questionnaire m’apprendra-t-il quelque chose à mon sujet? Où est-il, cet être tant souhaité? Cette âme sœur que j’attends depuis si longtemps? Verra-t-elle quelques branches de sapin dans mes yeux verts? Aimera-t-elle mon allure mi-figue, mi-raisin?
En ce matin d’octobre 2021, l’homme de mes rêves lit peut-être son journal dans un aéroport. Ou il taquine les dernières petites truites de l’été au bout d’un quai. Cette chère Natasha me garantit de bons candidats, quatre profils compatibles avec les 200 questions auxquelles j’ai moi-même répondu.
L’homme, le vrai, le bon pour moi, c’est tout probablement un personnage de roman que je n’ai pas encore écrit.
À SUIVRE.
Cora
❤️
En septembre 2021, j’ai finalement décidé de passer à l’action. J’ai appelé la fameuse agence de rencontres pour prendre un rendez-vous avec une certaine dame Natasha qu’une bonne copine m’avait chaudement recommandée. J’ai voulu décommander dix fois au moins, mais, courageuse et résolue, j’ai tenu bon. Dame Natasha allait me réserver deux grosses heures pour remplir toutes les formalités nécessaires. C’est donc ainsi que, le jeudi 30 septembre, endimanchée d’un bel ensemble rose-Kennedy, j’allais devoir me faire photographier sous tous mes meilleurs angles.
Avais-je autant envie d’être en amour? Je me sentais surtout mal à l’aise dans mes petits souliers et je voulais juste foutre le camp. Que ferais-je d’un homme? Même d’un oiseau rare. Corneille ou pinson, m’apprendrait-il à chanter? Je cherche un écrivain pour affiner mes mots, un explorateur à tête blanche ou un professeur de philosophie. Que m’importe, je veux juste qu’il soit bienveillant, gentil et attentionné.
Natasha la marieuse est une femme extrêmement gentille et connaissante en matière de jumelage amoureux. Je n’ose pas lui demander si elle-même est mariée et heureuse. Dès notre deuxième rencontre, nous jasons de tout et de rien comme deux bonnes copines : de quelques anciens flirts galants, de mon affreux mari et de quelques hommes valeureux que je n’ai jamais pris le temps d’aimer. Après m’être enfuie d’un douloureux mariage, je croyais ne plus jamais penser à aimer.
– « Qu’avez-vous donc fait, Claudia? », me demande Natasha la marieuse. Claudia est le prénom fictif qui m’a été donné pour préserver mon anonymat. C’est une règle de l’agence pour toutes les clientes qui souhaite opérer dans la plus grande confidentialité. Je lui demande si les hommes font de même et elle m’apprend que oui, jusqu’à ce qu’un « match » s’avère solide.
– « J’ai éventuellement ouvert un petit commerce de restauration matinale qui a très bien réussi et qui, franchement, est rapidement devenue une grande chaîne de restauration. »
– « Je sais qui vous êtes! Mais continuons avec votre nom d’emprunt au bénéfice de la cause qui, aujourd’hui, nous tient à cœur. Vous méritez certainement quelques années de bonheur avec un réel prince charmant! »
– « Encore faudra-t-il le trouver! »
La gentille marieuse m’explique en détail les trois étapes simples pour rencontrer un véritable prince charmant.
Primo : s’inscrire à un des forfaits de l’agence.
Deusio : définir le profil de l’oiseau rare dont je rêve.
Tertio : donner mon accord pour rencontrer des candidats sélectionnés selon mes désirs.
Étant moi-même plus mûre que les fraises en automne, mes mains, mon visage et mes bras, tout ce qui se voit à l’œil nu, ont l’air un tantinet maganés. Je m’aime pourtant. J’aime la couleur et j’aime surtout la porter. Choisir ma vêture chaque aurore stimule l’artiste que je suis.
– « Le rose vous va tellement bien!, me dit la marieuse. Vos photos attireront nos meilleurs candidats. »
– « Vous allez publier mes photos? », lui demandai-je, un peu surprise.
Un court instant, j’essaie d’imaginer la bouille de cet homme de mes rêves. Je rêve d’une grosse chevelure, blanche soit-elle, des yeux bleu-vert comme la mer, de grandes mains pour donner et un cœur d’or que tout le monde aimerait posséder. Peut-être verrais-je de loin sa jolie chemise à carreaux rouge et noir? M’approcherai-je de trop près pour voir les poils foncés dans ses oreilles? Comme lorsque j’étais toute petite et que je grimpais sur les épaules de mon papa pour tirer quelques poils de ses oreilles.
Que l’homme vieux arrive en toge de roi ou en chemisette de berger, j’accueillerai son visage d’ange et sa voix parfaite. Mais il devra sourire, car c’est ainsi que j’entrerai dans son cœur.
Dans ce vaste monde, à ce que disent les statistiques, 60 % des femmes chercheraient un homme, le bon, le magnifique, et seulement 40 % des hommes chercheraient une perle rare.
Et les vieillottes, chère Natasha, quelle chance ont-elles? Dégarnies de leurs attraits, l’espoir s’avère-t-il suffisant en plus du vouloir?
À SUIVRE.
Cora
❤️
Franchises Cora Inc., chef de file des déjeuners au Canada, annonce avec fierté que la bannière comptera deux nouveaux restaurants dans l’Ouest canadien. Cette fois-ci, ce sont les villes de Medicine Hat en Alberta et de Brandon au Manitoba qui font rayonner le soleil Cora.
En juillet dernier, le restaurant de Medicine Hat a été inauguré. Il s’agit du vingtième restaurant à voir le jour dans la province de l’Alberta.
D’autre part, le restaurant de Brandon, quatrième établissement Cora au Manitoba, a ouvert ses portes en novembre dernier.
Les deux nouvelles franchises font partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Avec plus de 125 franchises, les restaurants Cora continuent d’offrir un menu diversifié de déjeuners et dîners colorés et un service de première qualité, le tout dans une chaleureuse atmosphère familiale.
Les restaurants Cora sont fiers d’annoncer que la marque devient désormais un partenaire de choix de la compagnie aérienne WestJet. En effet, le transporteur canadien offre dorénavant le déjeuner Cora dans sa cabine Privilège à bord de ses vols matinaux. Il s’agit d’une délectable marque de confiance à l’égard notre entreprise, la pionnière des restaurants de déjeuners au Canada!
WestJet propose, depuis le 26 juin, un déjeuner Cora sur la plupart de ses vols d’une durée de deux heures et demie et plus. Les plats offerts sont inspirés des repas déjà prisés des mordus des déjeuners Cora : les oeufs Ben et Dictine à la dinde fumée, la Cassolette de légumes et l’Omelette au cheddar vieilli et aux épinards avec saucisse à la dinde.
Il s’agit d’une savoureuse opportunité pour Cora déjeuners d’accroître sa notoriété et de faire découvrir son menu auprès d’un public voyageur en donnant aux passagers de WestJet la chance de savourer un déjeuner Cora dans la cabine Privilège du transporteur.
Bon voyage!
Franchises Cora inc., le chef de file canadien des petits-déjeuners, est fière d'annoncer qu'un autre soleil s'ajoute à sa bannière dans l'Ouest Canadien. Cette fois, c'est la ville de North Vancouver qui a vu le soleil se lever.
La grande pionnière et fondatrice, Cora Tsouflidou, était de la partie lors de la Grande ouverture. C'est lors de cette célébration qu'elle procède à la Cérémonie de la Première omelette, une tradition par laquelle la première omelette du restaurant est réalisée de manière tout à fait symbolique.
Cette nouvelle franchise fait partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Il s'agit du 10e restaurant Cora en Colombie-Britannique pour la plus grande chaîne de restaurants de déjeuners et dîners à travers le pays.
Avec plus de 130 franchises en fonction, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners : une nourriture et un service de première qualité, le tout dans une chaleureuse atmosphère familiale.
L’année 2019 en est une de développement pour Franchises Cora inc., le chef de file canadien des déjeuners. L’entreprise fait rayonner son soleil symbolique dans les plus grandes villes au pays!
Deux autres restaurants ont ouvert leurs portes en mars. Comme dans bien des cas chez Cora, il s’agit d’une aventure familiale. Ainsi, le restaurant du quartier St. Vital, à Winnipeg, est géré par un couple de franchisés qui est tombé sous le charme des restaurants Cora, de leurs menus colorés et de tous les plats joliment agrémentés de fruits.
La plus récente ouverture est celle du second restaurant situé à Regina. Le franchisé a d’abord ouvert un premier Cora en novembre 2018. Fort de cette aventure, il s’est lancé dans le développement de son deuxième restaurant et a ouvert les portes de celui-ci le 18 mars dernier.
Les deux nouvelles franchises font partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Avec 130 restaurants en activité, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners et poursuit sa mission d’offrir une nourriture et un service de qualité dans une chaleureuse atmosphère familiale.